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Les graines germées : Ou comment allier goût et santé.

En salade, en accompagnement, dans vos sandwichs, en sauce, ou tout simplement crues, les graines germées sont de plus en plus consommées. En effet, en plus d’être excellente à la santé, elles sont aussi très goûteuses.

Il existe une multitude de graine à germer, c’est pour cela qu’Au Coin Nature, nous avons choisi de faire une petite sélection de ces dernières afin de vous les faire découvrir. Du coup, nous nous sommes dits que ce serait une bonne idée de vous donner un peu plus d’informations, sur celles que nous vendons.

Parmi ces graines, citons:

L’ALFALFA (ou plus communément la luzerne) :

 

 

La graine germée d’afalfa est une des plus connue et des plus appréciée. Elle fait partie de la famille des légumineuses.

C’est une graine qui propose un apport en nutriments relativement complet. En effet, elle est, d’abord, riche en vitamines A, B1, B2, B3 (ou PP), C, D, E, K et U. De plus, l’alfalfa est riche en sels minéraux tels que le calcium, le fer, le magnésium, le phosphore ou encore le soufre. Enfin, la graine germée d’alfalfa vous apportera divers oligo-éléments comme le zinc, le cobalt, l’iode ou encore le manganèse.

La graine germée d’alfalfa est appréciée pour ses bienfaits antioxydants, antistress et détoxifiants. Par ailleurs, il faut savoir que l’alfalfa contient des acides gras essentiels qui  interviennent dans la lutte contre le cholestérol. Elle sera aussi conseillée dans les troubles de la ménopause ainsi que dans les cas d’ostéoporose. Enfin, ses nombreux minéraux réguleront l’équilibre acido-basique de l’organisme.

Du point de vue gustatif, l’alfalfa a une saveur plutôt douce et rafraîchissante et elle apportera du croquant à vos plats.

LE TREFLE ROUGE :

 

 

Voisine de l’alfalfa, la graine germée de trèfle rouge est une des graines est une des graines les plus consommées. Elle appartient aussi à la famille des légumineuses.

Tout comme l’alfalfa, la graine germée de trèfle rouge est riche en vitamines B, C et E, ainsi qu’en provitamine A. De plus, elle sera intéressante pour son apport en minéraux et en oligo-éléments puisqu’elle contient du calcium, du fer, du cobalt, de l’iode, du magnésium, du phosphore, du sodium et enfin du zinc. Cette graine contiendra aussi les 8 acides gras essentiels à l’Homme.

De façon général, le trèfle rouge est conseillé dans les cas de déficit immunitaire. Mais il a aussi a la propriété de régénérer le foie et le pancréas. Ila aussi des vertus relaxantes et sédatives. Enfin, le trèfle rouge intervient dans la prévention des troubles cardiovasculaires.

Gustativement, la graine germée de trèfle rouge se rapproche, encore une fois de la graine germée d’alfalfa.

LE CHOU ROUGE :

 

Tout le monde connaît le chou rouge, il faut dire que c’est un produit que l’on trouve tout au long de l’année, d’abord cuit, mais aussi en crudités quand les beaux jours pointent le bout de leurs nez.  Le chou rouge est une légumineuse.

La graine germée de chou rouge propose un apport en vitamines A, B1, B2 et B3 (ou PP). Par ailleurs, comme les autres choux, le chou rouge est une source en minéraux et en oligo-éléments, comme par exemple, le calcium, le soufre, le zinc, le fer et le magnésium.

Outre ses bienfaits digestifs, la graine germée de chou rouge a des vertus anti-oxydantes, reminéralisantes, revitalisantes et anti-cancérigènes. Par ailleurs, cette graine possède des vertus anti-fatigue.

Le chou rouge est sa graine germée ont un goût relativement similaire.

LE RADIS DAIKON  (ou radis blanc) :

 

 

Connu depuis l’Antiquité, dans les pays d’Asie comme à Rome , le radis daikon était déjà utilisé pour arrêter les hémorragies et calmer les toux. Le radis daikon fait partie de la famille des légumineuses.

C’est un produit qui contient les vitamines A, B1, B2 et C et des minéraux comme le calcium, le fer, le zinc, le potassium, le magnésium, le sodium et enfin pour finir le phosphore.

La graine germée du radis blanc a des bienfaits détoxifiant du foie et draineur du rein . Tout comme les autres variétés de radis, le radis blanc est décongestionnant de la sphère ORL, et est aussi un antioxydant.

Pour ce qui est du goût, la graine germée du radis blanc a réellement le goût de radis.

LE CRESSON :

 

 

 Le cresson appartient à la famille des mucilagineuses1.

La graine germée de cresson propose un apport important en vitamines A, B1, B2, B3 (ou PP), C, D et E. Il vous apportera aussi des sels minéraux ainsi que des oligo-éléments, comme le calcium, le fer ou encore le magnésium.

La graine germée de cresson est une des plus digeste. Elle a des bienfaits dépuratifs, diurétiques, détoxifiants, stimulants et tonifiants. De plus, il a été observé que la graine germée de cresson renforçait les gencives, les cheveux et la peau. Elle possède aussi un antibiotique naturel.

 1 mucilagineuses: Constituées de polysaccharides, elles gonflent au contact de l’eau, et développent une substance visqueuse voire collante, semblable à la gélatine. (http://dictionnaire.education/fr/mucilagineux)

 

 

Source: http://www.mes-graines-germees.com

9 ANTIBIOTIQUES NATURELS !

Grippe, rhume, otite, angine… Pour lutter contre les maux de l’hiver, rien de mieux que des antibiotiques naturels. Efficaces sans être nocifs, ils peuvent neutraliser les bactéries et faire office d’antimicrobiens, en plus ils sont à la portée de tous.

Canneberge : contre les infections urinaires

(testé et effets constatés par le coin nature en jus pure 100% canneberge, cranberries en anglais)

D’où viennent les propriétés de la canneberge ?

Une substance contenue dans la baie (proanthocyanidine) empêcherait les bactéries de se fixer dans la muqueuse. En 1994, une étude américaine de l’école médicale de Harvard a montré que la consommation régulière de cette plante réduirait les infections urinaires chez les femmes.

 

Pépins de pamplemousse contre le Candida

L’extrait de pépins de pamplemousse serait un antibiotique naturel, un antiviral, un fongicide et un antiparasitaire.

 Il combattrait 800 souches de bactéries et virus, et 100 champignons et autres parasites ! Il serait recommandé dans le traitement du Candida (champignon à l’origine de ballonnements, fatigue, migraines, douleurs articulaires…).


D’où viennent les propriétés des pépins de pamplemousse ?

De leur richesse en bioflavonoïdes.

Ail : contre les pneumonies…

Des études ont montré que les composés de l’ail peuvent tuer 60 espèces de champignons et plus de 20 types de bactéries, dont le pneumocoque responsable de la pneumonie ou le staphylocoque doré…

 D’où viennent les propriétés de l’ail ?

L’allicine, substance contenue dans le condiment, est un puissant antimicrobien. Son action au niveau des poumons est particulièrement forte car ce composé volatil s’élimine par cette voie, tuant bactéries et virus au passage.

Vinaigre de cidre : contre les maux de l’oreille

Bon pour la tension, contre l’ostéoporose…

Le vinaigre de cidre est aussi un antimicrobien efficace contre les infections du conduit auditif.
D’où viennent ses propriétés ?

Selon une étude sud-africaine (1998), l’acide acétique qu’il contient serait un puissant antibactérien, notamment sur les staphylocoques à l’origine de maux d’oreilles.
Consommation :
En cas d’infection, faites un bain d’oreille avec un mélange moitié vinaigre de cidre – moitié eau chaude, 2 à 3 fois/jour, jusqu’à ce que la douleur et la fièvre disparaissent.

Huile essentielle de thym à thymol contre la bronchite…

Immunostimulante, antiseptique, antibiotique, antiparasitaire, fongicide, l’huile essentielle de thym à thymol est efficace contre les infections bronchopulmonaires (bronchite) et des voies respiratoires (angine, sinusite).

D’où viennent ses propriétés ?

« Le thym à thymol rend la membrane de la bactérie perméable. Elle se disloque ce qui la tue », explique le Dr Line Martin, médecin généraliste, naturopathe.
Consommation (sur prescription d’un spécialiste) :

2 gouttes 3 fois par jour* sur un comprimé neutre ou un sucre jusqu’à guérison.

Propolis : contre les angines

La propolis est une résine récoltée par les abeilles, dont elles se servent pour calfeutrer et aseptiser leur ruche.

 En 1989, des chercheurs polonais constatent qu’elle réduit la durée des symptômes du rhume plus rapidement qu’un placebo.

D’où viennent les propriétés de la propolis ?

Grâce à la forte présence de flavonoïdes (antioxydants), elle accélère le processus de destruction des virus et bactéries en améliorant la capacité des macrophages (globules blancs éboueurs) à les neutraliser.
Consommation :

« Utilisez un spray buccal à la propolis en solution hydro-alcoolique. 15 à 20 giclées/jour ou diluées dans un peu d’eau. A avaler en cas de rhume et/ou d’inflammations de la gorge »,

Gingembre contre le rhume

 

Le gingembre est une plante dont les racines sont couramment et depuis longtemps utilisées dans l’alimentation asiatique en tant qu’épice. Aujourd’hui très répandu en Europe, le gingembre est aussi connu pour ses multiples vertus. Il est réputé aphrodisiaque, mais pas seulement. Il possède de très nombreuses propriétés médicinales. Entre autres bienfaits, le gingembre est antibactérien, il aide à réchauffer l’organisme, il stimule le système immunitaire, il est antiallergique et antipyrétique (il lutte contre la fièvre). Surtout, le gingembre est un anti-nauséeuxqui limite les vomissements, notamment ceux liés aux transports et chez les femmes enceintes. D’autre part, il permet une digestion plus rapide en favorisant la sécrétion biliaire. Dans les pays occidentaux, le gingembre est également utilisé pour diminuer les manifestations inflammatoires des rhumatismes.

Posologie

On peut consommer du gingembre sous forme de poudre, de tisane de teinture-mère ou frais, à raison de 500 mg par jour, pour pouvoir profiter de ses bienfaits.

L’echinacea purpurea contre la grippe

Cette jolie marguerite pourpre aurait des effets préventifs sur le rhume et la grippe

D’où viennent les propriétés de l’échinacée ?

« Elle rend les globules blancs plus mobiles et augmente la capacité des macrophages (globules blancs éboueurs) à neutraliser les bactéries… et virus », explique le Dr Line Martin, médecin généraliste, naturopathe. « Elle contient aussi de l’échinacoside, aux propriétés antibiotiques. »

Consommation :

10 à 100 gouttes/jour (la quantité dépend de la corpulence et des symptômes) de teinture mère réparties en 2 ou 3 prises avec un verre d’eau – sur prescription d’un spécialiste.

Miel de manuka

Le miel de manuka a un aspect plus foncé que les autres miels, un goût plus fort, des propriétés antibactériennes et cicatrisantes supérieures… Le miel de manuka mérite-t-il sa réputation ?

Le miel provient de l’arbre de manuka, qui ne pousse que dans certaines régions de Nouvelle-Zélande et d’Australie.

Cousin de l’arbre à thé, dont est extraite l’huile essentielle antibactérienne du même nom, le manuka garantit un miel d’exception, au prix certes élevé, mais aux promesses alléchantes.

A en croire les producteurs, aucune comparaison n’est possible : le miel de manuka est bien supérieur aux autres. Selon eux, il combat des infections bactériennes, y compris résistantes, et guérit mieux des plaies, même ulcérées.

 Le miel de manuka est un puissant antibactérien

 

Cette concentration exceptionnelle en méthylglyoxal lui confère une activité antimicrobienne puissante.

Ce miel est efficace contre toutes les bactéries communes impliquées dans les sinusites, angines ou bronchites. Quelques travaux scientifiques montrent qu’il agit globalement plus vite et à une dose plus faible que les autres miels.

Des scientifiques de l’université de Waikato, en Nouvelle-Zélande, ont également observé qu’il est capable d’empêcher le développement de staphylocoques dorés résistants aux antibiotiques.

D’autres résultats encourageants ont suivi avec différentes bactéries, dont une responsable d’infections nosocomiales, ainsi que des streptocoques et des entérocoques contre lesquelles les antibiotiques actuels sont inopérants.

Comment l’utiliser ?

« Il existe peu d’études cliniques, mais une utilisation régulière, à raison de 1 à 2 c. à café par jour, pendant l’hiver serait préventive »

Quand l’infection ORL ou gastrique est déclarée, il faudrait en revanche en absorber des quantités importantes, difficiles à recommander sous peine d’avaler trop de sucre !

Le miel de manuka est très cicatrisant

 

« Tous les miels ont une activité cicatrisante, rappelle Carole Minker. Elle est principalement due à leur forte osmolarité. »

Ce terme signifie que le miel attire l’eau. Il draine la lymphe et le plasma vers l’extérieur, entraînant du même coup des déchets et des débris de tissus, ce qui nettoie la plaie.

Le mécanisme garantit aussi une humidité favorable à la cicatrisation, mais qui n’augmente pas la prolifération des bactéries grâce aux propriétés antimicrobiennes du miel.

En éliminant plus rapidement les bactéries, le miel de manuka a une activité cicatrisante supérieure. « Le méthylglyoxal empêche les bactéries de se fixer sur les tissus endommagés », ajoute le Dr Becker.

Cette molécule clé a également des propriétés anti-inflammatoires qui réduisent l’œdème et favorisent le processus de réparation des tissus. « Une publication fait état de l’utilisation depuis trois ans, avec succès, du miel de manuka à l’hôpital de Bonn pour traiter les infections cutanées nosocomiales », commente Carole Minker.

 

Comment l’utiliser ?

 

« Le miel de manuka peut être conseillé en pansement, sur une plaie difficile à guérir, après l’avoir montrée à son médecin, dit-elle. Dans ce cas, il faut utiliser un miel doté d’un UMF de 18 ou 20, nettoyer la plaie et appliquer une couche épaisse d’un demi-centimètre avant de poser un pansement. À changer toutes les 24 à 48 heures jusqu’à amélioration. »

Des études récentes indiquent que le miel de manuka améliore la cicatrisation d’ulcères de jambes et de pieds diabétiques.

Légumes d’antan, retour gagnant!

Nos grands mères savaient parfaitement les concocter : panais, rutabagas, topinambour, navet coing n’avaient pas de secret pour elles.

Mais difficiles à éplucher et long à travailler, la cuisine moderne a fait fi de ces fruits et légumes.

Jusqu’à cette renaissance actuelle qui redore leur blason et signe leur retour dans nos assiettes.

Mais pourquoi ont-ils disparu?

 

Plusieurs explications…

Tout d’abord Oubliés justement parce qu’ils ne supportent pas les critères de vente de notre monde normalisé et standardisé. Ils n’ont pas la même forme ni la même taille de l’un à l’autre, donc ne conviennent pas à la transformation industrielle.

Oubliés parce que la course frénétiques aux prix a eu raison d’eux, la « mal bouffe » avait sonné leur glas.

Ensuite certains d’entre eux ont été associés à la douloureuse période de famine de la seconde guerre mondiale et que finie cette épreuve, ils ont été balayés.

Et enfin, les femmes travaillant se sont tournées vers des fruits et légumes plus faciles à cuisiner.

Mais voilà qu’en ces temps d’essors de l’agriculture biologique, ce retour à la consommation locale et à l’achat en direct auprès des producteurs, ils reviennent sur nos étales.

Sur tous nos stands vous retrouvez panais, rutabaga, navet boule d’or, topinambour.

Ils ont tous en commun d’être riche en minéraux et pauvres en calories…mesdames, gardons la ligne cet hiver 😉

Le panais

Valeur nutritionnelle

Le panais est plus riche en vitamines et minéraux que sa cousine la carotte. Il est particulièrement riche en potassium avec 600 mg aux 100 g. Le panais est aussi une bonne source de fibres alimentaires.
100 g de panais représentent 55 calories (230 kJ).

Usages

Le panais peut se consommer cuit en soupes, potages, couscous (Maroc) et pot-au-feu, il supporte tout type de cuisson et accommode n’importe quelle viande ou poisson. Il est le plus souvent utilisé comme complément ou condiment, à cause de sa saveur assez vive.
Le panais se cuit comme la pomme de terre et peut être préparé en purée ou gratiné au four.
On peut aussi le servir cru, râpé avec huile et citron en salade.
Les jeunes pousses de panais sauvage peuvent agrémenter beaucoup de recettes. Elles doivent être cueillies tendres, tant que la tige est verte et que les feuilles ne sont pas complètement dépliées. Une fois cueillies, il suffit de les laver et de les émincer. On peut les utiliser dans tous les plats de légumes, les sauces (sauce tomates aux panais, ou bien en cubes dans les pâtes), les omelettes, gratins, etc.

Le rutabaga

 

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Originaire de Scandinavie, le rutabaga apparaît dès la fin du moyen age.

Mais à l’apparition du topinambour ce légume ancien est tombé dans l’oubli après la seconde guerre mondiale, période pendant laquelle sa consommation avait contribuer à son association aux périodes de disette et à la pauvreté dans l’esprit populaire.

Les bienfaits du rutabaga

 

Le rutabaga appartient à la famille des crucifères. Tout comme les différentes variétés de choux, il est fortement pourvu en vitamine C et constitue donc un aliment de choix pour booster son système immunitaire durant la période hivernale.

D’autre part, les crucifères sont réputés pour leur haut pouvoir antioxydant. La consommation régulière de rutabaga protégerait ainsi des cancers, notamment ceux du poumon, du système digestif et des ovaires. Le rutabaga est également source de potassium, un minéral qui intervient dans le processus de digestion et joue un rôle essentiel au bon fonctionnement des muscles dont le cœur. Cette richesse en minéraux lui confère des propriétés diurétiques qui font du rutabaga un allié contre l’hypertension artérielle.

Enfin, comme tout légume-racine, sa teneur en fibres est importante et participe donc à la régulation du transit intestinal.

Le topinambour

Surnommé artichaut de Jérusalem ou poire de terre, le topinambour est un légume oublié qui revient à la mode. A (re)découvrir.

Le topinambour s’adapte à tous types de sols. Il est donc cultivé dans la France entière.

La variété la plus commune est le topinambour rouge, ou topinambour commun.

On retrouve également le Violet de Rennes, le Rouge du Limousin et le topinambour fuseau.

Valeurs énergétiques

 

Le principal composant énergétique du topinambour est l’inuline. Elle n’influence pas la glycémie des personnes diabétiques contrairement à l’amidon.

L’inuline donne aux légumes une saveur un peu sucrée très spécifique aux légumes tels que l’artichaut, les salsifis et les cardons. Ce qui a pour conséquence de donner un goût sucré à tout ce qui est bu par la suite.

Le topinambour apporte 31 kcal/100 g, ce qui est peu, par rapport à la pomme de terre : 85 kcal/100 g et l’artichaut : 40 kcal/100 g.

Faire découvrir, faire apprécier

Ce légume a tout pour plaire aux enfants, légèrement sucrée et excitant les papilles gustatives : tout ce qui est bu par la suite à un goût sucré !

Revisitez la purée : 3/4 de topinambours pour 1/4 de pommes de terre. Elle n’en sera que plus lisse et plus goûteuse. De même dans un velouté, avec quelques petits croûtons.

Ils apprécieront aussi sa texture fondante dans un gratin ou dans une salade de mâche.

Les boulettes frites sont également très appréciées, comme en Grande-Bretagne…

Eh si nous partagions des recettes! Pourquoi ne pas nous faire parvenir vos modes de préparation de nos légumes oubliés?

 

 

C’est un sacré coco

Les haricots en grains, secs ou frais

 

img_2679Depuis quelques semaines maintenant, les haricots demi-sec de la production sont sur nos étales.

Leurs gousses rouges zébrés contiennent des grains blancs d’une saveur exquise.

Nous les produisons d’août à mi-octobre.

Comme toutes nos récoltes, nos haricots demi-secs sont récoltés à la main par notre équipe de la production.

 

A écosser en été (choisir des gousses fermes, bien pleines et humides car elles contiennent des graines récoltées avant complète maturité), demi-secs à l’automne, les haricots en grains deviennent légumes secs le reste de l’année.

Ils se conservent longtemps. Il suffit de patience pour les cuire et retrouver leur richesse en goûts et en possibilités culinaires.

img_2680De très nombreuses variétés, en général blanches sont cultivées en France depuis la découverte du Nouveau monde. Parmi les plus connues, citons :

  • La mogette, un haricot blanc cultivé dans le bocage vendéen depuis plusieurs siècles.
  • Le flageolet ou chevrier, un haricot vert pâle, typiquement français, cultivé dans le bassin parisien et en Bretagne. Il est vert car récolté avant maturité complète.
  • Le haricot Tarbais , cultivé dans les Hautes Pyrénées où il est traditionnellement tuteuré sur les pieds de maïs. On l’appelle d’ailleurs parfois le haricot maïs. C’est le haricot bien connu du cassoulet. Il est aussi parfait en salade et en garbure. Cliquez ici pour des recettes avec des haricots Tarbais.
  • Le coco de Paimpol, dont les grains peu farineux peuvent être blancs ou décorés de marbrures très roses (qui s’effacent à la cuisson). Il aurait été rapporté d’Amérique Latine en Bretagne par un marin dans les années 1920.  Il est récolté à la fin de l’été et au début de l’automne et est commercialisé en gousses demi sèches et en grains secs.

 

Les haricots colorés sont cultivés en France, mais plus souvent importés :

  • Les haricots rouges, typiques de la cuisine mexicaine et sud américaine sont souvent importés des Etats Unis ou d’Argentine.
  • Les haricots noirs sont très présents dans la cuisine quotidienne du Brésil
  • Cornilles, blancs avec leur petit oeil noir sont importés des Etats-Unis, de Turquie, du Pérou, etc.
  • Les azukis sont les petits haricots rouges du Japon. Très savoureux, ils sont utilisés en Asie dans des recettes aussi bien salées que sucrées.

Comment conserver les légumes secs :

 

Les légumes secs récemment récoltés ont l’avantage de cuire plus rapidement. Mais, à condition de les tenir à l’abri de l’humidité, ils peuvent aussi se conserver très longtemps. Le haricot frais écossé se congèle tel quel et garde ses qualités gustatives pendant plusieurs mois.

Cuisiner les légumes secs en graines entières :

 

Les légumes secs sont désormais triés mécaniquement et ne nécessitent plus de tri à la maison. En revanche, mieux vaut les rincer dans un bol d’eau avant de les cuisiner avant de les mettre à tremper.

Il faut donc les couvrir d’eau pour la nuit. Le lendemain matin, égouttez-les et rincez-les une seconde fois pour les cuire dans une nouvelle eau sans impatience pendant 45 minutes à 1 heure.

N’hésitez pas à utiliser l’auto cuiseur pour les cuire plus rapidement. Comptez 20 minutes de cuisson pour les haricots blancs ou rouges.

Petits trucs en plus :

 

  • Ne pas saler l’eau de cuisson, cela durcit les légumes secs.
  • On sale au gros sel de mer environ 10 minutes avant la fin de la cuisson.

 

  • En revanche, on peut ajouter le petit ingrédient qui change tout et les rend plus digestes : au choix un tronçon d’algue Kombu rincé, des aromates ou encore une pincée de bicarbonate.
  • Le kombu est une algue comestible qu’on utilise beaucoup pour faire le dashi, le bouillon de base japonais (qui sert à la fabrication de la soupe miso – L’essuyer avant de l’utiliser).
  • Vous la trouvez dans toutes les épiceries asiatiques.

 

Sous le soleil des Rondards

DemeterConditions climatiques difficiles pour le maraîchage

Voilà maintenant deux bonnes semaines que le soleil est  aux Rondards.

Comme tous les agriculteurs et maraîchers français nous avons souffert des abondantes pluies de tout le printemps.

Les conditions climatiques ont engendré des retards conséquents sur nos cultures, mais , fort heureusement, nous n’avons pas subi de perte.

IMG_1904Les cultures sous serres de nos légumes biodynamiques sont protégées

Bien chanceux d’avoir nos serres pour protéger nos plantations et nos légumes biodynamiques, aujourd’hui nous vous présentons un petit diaporama des cultures sous le meilleur angle possible, essayant de vous occulter les plantations envahies de mauvaises herbes de part l’impossibilité de passer avec la bineuse pour pour le désherbage, les terres étaient bien trop chargée en eau.

Nous rencontrons toute fois quelques soucis d’abondance de pucerons, sur les fraisiers et les concombres, le fort taux d’humidité à l’intérieure des serres en est la principale cause.

Nous vous avons expliqué dans une actualité antérieure que cette année nous sommes en phase d’expérimentation sur l’intégration d’insectes prédateurs dans nos serres pour lutter contre les pucerons, acariens et araignée rouge entre autres.

IMG_1880Les cultures en plein champ

Depuis le début du printemps, nous avons dut travailler en consultant constamment la météo, dès que les conditions le permettent, nous réunissons une équipe de plantation  (constituée de 3 planteurs et 1 chauffeur de tracteur) pour réussir à mettre nos plants en plein champ.Certains jours pour palier au retard, nos managers ont  réunit 2 équipes de plantations sur deux planteuses différentes.

Les semis d’endive et panais sont finalement faits…en dates très limites mais Alain est confiant et pense que que le retard sera rattrapé avec le beau temps…si le beau temps reste parmi nous…

Actuellement les fortes chaleurs et le vent sèchent les terres des Rondards et les jeunes cultures, les enrouleurs parcourent nos champs depuis plusieurs jours maintenant pour palier à cette augmentation brusque et violente des températures, nous puisons notre eau dans notre réserve.

 

 

IL N’Y A PAS QUE LA VACHE QUI FAIT DU LAIT!

 Ces laits végétaux sont dans notre magasin bio à Moulins.

 
Lait de noisette, d’amande, de riz, de soja… Il en existe pour tous les goûts et leurs propriétés nutritionnelles n’ont rien à envier à celles du lait de vache. Petit récapitulatif.
 
Les laits végétaux occupent une place croissante dans notre alimentation, et pour cause, le lait de vache ne serait pas aussi bénéfique pour la santé qu’on voudrait nous le faire croire. S’ils sont déconseillés aux jeunes enfants et aux nourrissons, les laits végétaux sont particulièrement adaptés aux besoins nutritionnels des adultes et contribuent même à protéger la santé.
 
Contrairement au lait de vache, le lait végétal ne contient pas de germes microbiens, de traces d’antibiotiques ou de vaccins couramment utilisés dans l’élevage bovin. De plus, il réduit les risques d’allergie et est beaucoup plus digeste. Autres propriétés notables, il est riche en bons acides gras, en vitamines et en minéraux. Il existe deux types de lait végétal, les laits oléagineux et les laits de céréales.
Les laits oléagineux
 
Le lait d’amande : Riche en vitamine A, B et E, il contient aussi du fer, du calcium et du magnésium en grande quantité. De plus, il est particulièrement digeste et protège les intestins.
 
Le lait de noisette : Particulièrement savoureux, ce lait est minéralisant et très digeste. En plus de contenir du fer, du magnésium et du calcium, il est riche en acides gras mono-insaturés qui protègent le système nerveux et évitent les maladies cardio-vasculaires.
 
Le lait de coco : Il contient lui aussi du fer, du magnésium, du zinc et des minéraux, mais ce lait oléagineux n’est pas aussi digeste que ses semblables. À utiliser en cuisine, où il parfumera aussi bien plats salés que sucrés
 
Les laits de céréales
 
Le lait de soja : le plus connu de tous. Il se décline sous de nombreuses formes (poudre, crème) et s’utilise comme du lait de vache. C’est le lait le plus riche en calcium et en protéine, il présente aussi l’avantage de réduire le taux de cholestérol dans le sang. Particulièrement indigeste, il est à déconseiller pour les enfants ou les personnes ayant des problèmes de digestion.
 
Le lait d’avoine : Recette traditionnelle et ancestrale, le lait d’avoine se consomme plutôt en hiver et de façon occasionnelle. Il contient du calcium, du magnésium, du fer,des vitamines B et E. Attention, on y retrouve aussi du gluten.
 
Le lait d’épeautre : L’épeautre est une variété ancienne du blé, beaucoup plus digeste. Il contient des vitamines B, D et E (antioxydante), du calcium, du fer et du magnésium.
 
Le lait de châtaigne : Très riche en sucre, il est aussi très digeste. Particulièrement savoureux, son petit goût si particulier en fait une boisson très appréciée. Il contribue aussi à améliorer l’acidité gastrique.
 
Les laits végétaux peuvent se consommer tel quel, mais ils constituent aussi un excellent substitut au lait de vache dans vos plats, sucrés comme salés. On peut par exemple préparer des milk-shake au lait végétal en mixant un lait végétal (avoine, amande) avec un fruit. Un goûter sain et nutritif.

Les sans viande…Veganes, végétaliens, végétariens…

Avec la multiplication des scandales alimentaires, la banalisation des OGM, et la domination de l’industrie agroalimentaire…différentes raisons peuvent nous conduire à modifier nos habitudes de consommation.
Pour consommer de la viande, du poisson, des œufs ou des produits laitiers, des animaux sont inséminés, sélectionnés ou éliminés, enfermés, mutilés, engraissés, transportés et tués.La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons vivre en bonne santé sans viande et sans produits animaux.
 Certains deviennent alors végétarien, végétalien ou végan.
Gros plan sur ces trois pratiques alimentaires.
Quelles règles alimentaires suivent ces consommateurs ?
Qu’ont-ils banni de leur alimentation ?
Décryptage…

Le végétarisme

 

Le végétarisme est une pratique alimentaire que l’on peut remonter à la Grèce Antique. De nombreux philosophes grecs étaient végétariens, dont Pythagore, que l’on considère comme le père du végétarisme. Dans un premier temps, on nommait « pythagoriciens » les personnes qui excluaient la viande de leur régime alimentaire. Plus tard, le végétarisme a conquis de nombreux autres penseurs et scientifiques célèbres comme Albert Einstein, Léonard de Vinci et Mahatma Gandhi.

Végétarisme, mode d’emploi

Il existe différentes catégories de végétarisme mais nous allons nous concentrer sur la définition globale de ce terme. Le végétarisme fait référence à un type d’alimentation qui exclut la viande (viande rouge et viande blanche), les poissons et les fruits de mer. On peut toutefois discerner quelques nuances :

  • Le lacto-ovo-végétarisme : le fait de consommer des produits issus d’animaux comme le lait, ou les œufs
  • Le lacto-végétarisme : le fait de consommer des produits laitiers mais pas d’œufs
  • Le semi-végétarisme : le fait d’exclure la viande mais de consommer du poisson, des fruits de mer voire de la volaille. Ce régime est très proche du régime méditerranéen

 

Les régimes végétariens (y compris le végétalisme) menés de façon appropriée sont bons pour la santé, adéquats sur le plan nutritionnel et bénéfiques pour la prévention et le traitement de certaines maladies. Les alimentations végétariennes bien conçues sont appropriées à tous les âges de la vie, y compris pendant la grossesse, l’allaitement, la petite enfance, l’enfance et l’adolescence, ainsi que pour les sportifs.

Le végétalisme

 

Le végétalisme est également appelé « végétarisme strict » . A la différence du végétarisme, le végétalisme est un régime alimentaire qui ne comporte que des aliments issus du monde végétal. Les végétaliens rejettent donc les viandes, les poissons, les fruits de mer mais aussi les produits laitiers, les œufs et d’autres produits d’origine animale comme le miel. Très souvent, un végétalien ne se limite pas aux produits qu’il consomme et opte pour le véganisme.

http://www.mangez-vegetarien.com/

le véganisme

 

Etre végan, c’est refuser l’exploitation animale. Cela implique de ne pas consommer de chair animale, de laitage, d’oeuf, de miel ni de produits de la ruche, de ne pas porter de vêtements faits de matières premières provenant des animaux (fourrure, cuir, laine, soie, etc.), de ne pas utiliser de produits d’hygiène, d’entretien testés sur les animaux.

Le véganisme, qui se concrétise par une baisse de la demande de produits impliquant des animaux, est bien plus qu’un style de vie ; c’est un engagement en faveur de l’abolition de toute forme d’exploitation des animaux.

Pour les vegans, les animaux sont des êtres vivants “sentients” : il ressentent la douleur et ont une conscience perceptive. Ils ont leurs propres intérêts à vivre et une volonté à rester en vie.

La majorité des gens prétendent se soucier des animaux, les aimer et les respecter. Nous sommes tous d’accord sur le fait qu’il est immoral de faire souffrir les animaux si cela n’est pas nécessaire. Or, l’exploitation animale n’est pas nécessaire. Nous utilisons les animaux pour en retirer du plaisir ou du divertissement.

Nous pouvons très bien vivre sans manger de produits d’origine animale, sans nous vêtir de la peau des animaux et sans utiliser de produits testés sur animaux, etc. Nous utilisons les animaux par habitude.

Pourtant le fait de faire quelque chose depuis longtemps ne signifie pas que c’est éthiquement acceptable : les hommes font la guerre depuis toujours et cela n’est pas pour autant acceptable.

Etre végan est aussi un choix en faveur de l’environnement, et donc en faveur des animaux qui y vivent. La production de produits d’origine animale coûte cher à l’environnement :
Selon la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture), l’élevage produit plus de gaz à effets de serre que l’utilisation de pétrole pour les voitures, et autres moyens de transport.
L’élevage entraîne une déforestation: les forêts sont rasées pour être transformées en cultures destinées uniquement à nourrir le bétail.
En Europe, produire 1 kg de bœuf nécessite 20 kg de céréales, 20 000 litres d’eau et l’équivalent en énergie de plus d’1 litre de pétrole. (A titre de comparaison, produire 1 kg de céréales nécessite en moyenne 1 500 litres d’eau et 1 kg de légumes secs nécessite 1 000 litres d’eau.)
De plus, un bœuf offre 12 fois moins de repas que les céréales qu’il aura consommées.
Il est aussi très clair que les protéines utilisées pour nourrir les animaux d’élevage pourraient servir à nourrir les humains victimes de famine.

Devenir végan est un engagement politique et moral en faveur de l’abolition de l’exploitation animale, à l’échelle individuelle. C’est le choix que nous pouvons tous faire aujourd’hui pour aider les animaux, qu’ils soient humains ou non-humains. Cela n’exige pas de campagne coûteuse, ni d’engagement dans une grande association, ni de loi ; cela exige seulement de reconnaître que les animaux ont le droit de vivre et de disposer d’eux-mêmes, et que leurs intérêts passent avant notre plaisir.

 

Où faire ses courses ?

 

Les magasins bio proposent désormais tous des laits végétaux, ainsi que des pâtés, galettes ou steaks végétaux. Les fruits et légumes, légumineuses (pois chiches, lentilles, haricots…) et céréales (riz, blé…) constituent une bonne base pour cuisiner végé !

Pour un teint carotte

 

Les vacances approchent, le thermomètre monte… C’est le moment idéal pour préparer sa peau au soleil.

Il existe des solutions naturelles pour prendre soin de sa peau et obtenir un joli hâle en toute sécurité.

Voici les bons gestes et les astuces bio.

Fatigue, stress, mauvaises habitudes alimentaires… A l’approche de l’été, notre teint est souvent brouillé, notre peau fatiguée. Alors quoi de plus normal que de rêver de jambes dorées, d’un visage éclatant relevé de pommettes caramel ?

Mais pas question pour autant d’abîmer notre peau ou de prendre le moindre risque pour notre santé.

Séances d’UV ou autobronzant, pour quels soins opter alors à quelques semaines des vacances ?

Ni l’un, il est impossible de renforcer notre épiderme à l’approche de l’été.

En un mot : ni les UV en cabines, ni les autobronzants ne permettent de préparer sa peau au bronzage.

Mais il est toutefois possible d’en prendre soin au naturel, pour obtenir un hâle harmonieux et durable. Et cela, en toute sécurité !

Se préparer au bronzage… de l’intérieur

Première mesure pour préparer naturellement sa peau aux beaux jours : soigner le contenu de notre assiette !

Car l’alimentation reste le meilleur moyen d’offrir à notre organisme de quoi nourrir notre peau. Le menu conseillé?

Des carottes crues et cuites à la vapeur douce, des tomates avec leur peau , des fruits frais (melons, abricots, pêches jaunes), des légumes verts et rouges, à consommer régulièrement. Vous pouvez également consommer ces fruits et légumes en jus ou smoothie. Nous vous proposons un jus de carotte lactofermenté tout prêt à consommer en vente dans notre boutique à Moulins.

Sans oublier de changer quelques petites habitudes : Buvez davantage d’eau plate et consommer de l’huile d’olive crue de première pression à froid et de bonne qualité.

Le rayonnement solaire peut être une agression pour la peau. Celle-ci a donc besoin de toutes ses ressources pour parer à l’attaque des UV-A qui provoquent l’oxydation des cellules, et des UV-B qui brûlent la peau.

Et les compléments alimentaires ?

Vous trouverez sur le marché tout type de pub recommandant des compléments alimentaires à base de canthaxanthine, un pigment brunâtre qui s’accumule sous la peau, et de bêta-carotène, les pilules bronzantes donnent une coloration orangée à la peau mais elles n’offrent aucune protection contre les rayons UV, alors n’oubliez jamais d’utiliser un protecteur solaire d’indice élevé lors des premières expositions. Évitez les expositions lors des créneaux horaires ou le soleil est le plus intensif. (12h-14h)

Par ailleurs, leur utilisation prolongée, plus d’un mois par an, peut entraîner des dépôts de canthaxanthine sur la rétine et se traduire par des troubles de la vision.

Une  meilleure astuce naturelle ?

L’huile essentielle de carotte, parfaite pour offrir à notre peau un coup d’éclat, sans recourir à un autobronzant du commerce.

Un mois avant les vacances, ajoutez 5 gouttes d’huile essentielle de carotte (daucus carota) dans votre lait ou votre huile hydratante pour le corps et une goutte dans votre crème visage.

Cela prépare la peau au bronzage, permet de l’accentuer et donne immédiatement de l’éclat.

Pour les plus gourmandes, cette astuce se décline dans une version plus fruitée, avec de l’huile végétale d’abricot.

Elle a les mêmes effets, mais elle est colorée et tache !

Ajoutez 3 à 5 gouttes à votre crème habituelle comme décrit précédemment et utilisez-la sur le visage, le cou, le décolleté, les mains et les bras.

Tout ceci notre équipe de la boutique de Moulins saura vous l’expliquer et vous conseiller avec plaisir.
N’hésitez pas à passer et à vous informer.

 

 

Bonnes fraises maman!

Nous ne pouvions pas attendre mieux que l’arrivée de nos premières fraises pour le weekend de la fêtes des mamans.

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La météo est peu clémente avec nous…on observe un retard de la végétation sur toutes nos cultures mais nous réussirons à vous proposer quelques barquettes de fraises sur nos étales ce weekend. Vous retrouverez la mara des bois acidulée mais très fruitée, un petit parfum de fraise des bois en arrière bouche et la cireine, une fraise généreuse, acidulée mais très sucrée. Pour les charlottes il faudra encore attendre.

 

 

La fête des mères, c’est aussi la fête de la cuisine et de la table !

Quelle plus belle occasion que la fête des mères pour passer un peu de temps dans la cuisine et réunir toute la famille derrière un bon repas ?

Essayez nos recettes de cuisine spécial fête des mères préparées avec des légumes et des fruits que vous retrouverez sur tous nos stands à partir de vendredi 27 mai.

Et si on commençait par le dessert pour partir le cœur gai? Eh évidemment, on va le préparer avec nos fraises!!!!

Elles sont si goûteuses qu’elles peuvent être dégustées tout simplement en salade avec le jus d’un citron, un peu de cassonade pour faire un bon sirop, on peut aussi les préparer avec de la menthe fraîche de la production ou encore…un peu de basilic finement ciselé…vous avez de la chance, les premiers bouquets de basilic arriveront également sur nos stands ce weekend.

 

Tiramisu aux fraises

 

C’est une recette qui permet de consommer les fruits crus et donc de profiter pleinement de leur saveur et de leurs nutriments.

Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 0 minutes

Ingrédients (pour 4 personnes) :

– 500 g fraises
– le jus d’un demi-citron jaune
– 4 œufs
– 250 g de mascarpone
– 180 g de sucre
– 12 biscuits à la cuillère

Préparation de la recette :

 

Préparer 2 h à l’avance.

Placer les biscuits dans un plat. Laver, équeuter et couper les fraises en quartiers, puis les mettre dans un plat.
Arroser les fraises du jus de citron et de 30 g de sucre.
Écraser les fraises à l’aide d’une fourchette. Mettre sur les biscuits cette préparation en quantité suffisante afin de bien les imbiber.
Mettre au frigo.
Pendant ce temps, séparer les jaunes et les blancs des oeufs. Battre les jaunes avec 120 g de sucre jusqu’à blanchissement du mélange.
Ajouter le mascarpone et mélanger.
Monter les blancs en neige, y ajouter les 30 g de sucre. Incorporer délicatement les blancs en neige au mélangez jaune-sucre-mascarpone.
Verser la préparation sur les biscuits imbibés.
Verser le restant du ‘coulis’ par dessus.
Mettre au frais.

Brochettes melon, jambon et mozzarella

 

 

Voilà quelques semaines que nous vous proposons du melon français sur nos étalages, de quoi donner un gout d’entrée au printemps. N’oubliez pas que cette année nous produisons notre propre melon mais pour cela il faudra attendre les mois les plus chauds de la saison…

Ingrédients :

 

  • 2 melons
  • 400 g de billes de mozzarella
  • 4 tranches de jambon cru

Préparation :

 

 1. Coupez les tranches de jambon cru en morceaux.

 2. Égouttez les billes de mozzarella.

 3. Retirez l’écorce et les pépins des melons. Prélevez des billes de melon avec une cuillère.

 4. Plantez les billes de melon, les billes de mozzarella et les morceaux de jambon sec sur des pics en bois, en les alternant.

 5. Placez les brochettes au frais jusqu’au service.

Courgettes farcies au quinoa

 

 

Profitez des courgette de la production, très fraîches et fermes.

Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 60 minutes

Ingrédients (pour 4 personnes) :

– 4 courgettes
– 150 g de quinoa
– 80 g de noisettes entières décortiquées
– 80 g de raisins secs
– 3/4 de bûche de chèvre
– 2 gousses d’ail
– 2 oignons
– sel, poivre
– huile d’olive

Préparation de la recette :

Après avoir nettoyé et coupé en deux chaque courgette, vider la pulpe et réserver.
Préchauffer le four à 200°C (thermostat 6-7).
Dans un faitout, verser 1 cuillère à soupe d’huile d’olive. Y faire blondir les oignons et l’ail émincés.
Ajouter les noisettes entières (ou coupées en morceaux). Faire dorer sur feu doux.
Ajouter le quinoa, les raisins secs et la pulpe de courgettes.
Couvrir d’eau. Saler, poivrer.
Au bout d’un quart d’heure, ajouter le chèvre émietté et rajouter un peu d’eau si le mélange devient sec. Laisser mijoter encore 5 minutes.
Au bout de ce temps, remplir les courgettes évidées de cette préparation et les enfourner pendant 3/4 d’heures.
5 minutes avant la fin de la cuisson, allumer le gril pour faire dorer le dessus.
Accompagner d’une salade de betteraves aux oeufs durs par exemple.

Remarques :

 

Ce plat peut également être préparé avec d’autres légumes. Vous pouvez aussi remplacer les noisettes par des noix, ajouter de la menthe fraîche… A vous de jouer!

 

 

 

 

 

ça bourdonne à la ferme

Est ce que tout le monde sait exactement ce qu’est la biodynamie?

Petit point sur la biodynamie…qui nous caractérise.

Théorisée dans les années 20 par le philosophe autrichien Rudolf Steiner, cette pratique est une réponse aux inquiétudes des agriculteurs déjà alarmés par les dégâts causés aux sols et à la fécondité des troupeaux par les produits chimiques et le travail mécanisé.

C’est un point de vue global prenant en compte les relations existantes entre la terre, les sols, les animaux et les plantes. Mais aussi le Soleil, la Lune et les planètes.

Agricultures biologique et biodynamique sont proches mais, si la première s’applique à respecter la terre, la seconde s’attache à la soigner.

Car la biodynamie appréhende l’exploitation agricole à la manière d’un organisme vivant, dont les organes seraient les animaux, les insectes et les végétaux. Elle a pour objectif de parvenir à un équilibre harmonieux, dans lequel l’apport animal enrichit les végétaux et les végétaux nourrissent les animaux.

Les sols sont soignés par les lombrics qui creusent des galeries permettant ainsi au système racinaire de se développer et l’apport du compost préparer avec le fumier des animaux de la propre ferme.

Les animaux sont élevés selon des pratiques respectueuses de leur bien-être et de l’équilibre des exploitations.

La pollinisation est optimale grâce à des ruches placées au sein des exploitations agricoles.

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C’est dans le souci de cet équilibre que cette année Alain et Christophe

ont décidé de
faire un apport de pollinisateurs à la ferme. Nous accueillions déjà 5 ruches d’un apiculteur local depuis de nombreuses années, cette saison les dirigeants de l’exploitation inaugurent les ruches de bourdons dans les serres.

Pourquoi des bourdon? Tout simplement pour assurer une meilleure fécondation des plantes et obtenir de jolis fruits, de belle taille.

 

Les fraises sont en fleurs depuis 15 jours maintenant et en pleine formation, il est prévu d’apporter une ruche de bourdon par serre de tomates également, à partir la semaine 20 lorsque les pieds de tomates seront en fleurs.

 

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Tous les champs de l’exploitation sont bordés de haies que nous protégeons et entretenons régulièrement afin d’y abriter toute la faune auxiliaire aux cultures, insectes, oiseaux, reptiles, chaque être vivant apporte un équilibre à l’écosystème de la ferme.

Nous renforçons la faune auxiliaire des serres en y intégrant des insectes prédateurs des acariens et de l’araignée rouge, plus particulièrement dans les serres d’aubergines et courgettes.

Certains champs sont bordés par un ruisseau ou nichent grenouilles, crapaud et ragondins.

 

 

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Nous cultivons également des bandes prairiales pour accueillir les insectes prédateurs des ravageurs tels que les Acariens, Pucerons, Mouches, Mineuses, Courtilière qui font de gros dégâts aux cultures. Tous les abords de flore naturelle sont très importants.

Les bandes florales sont ornementales mais également une grande attraction pour les pollinisateurs. Alain joue des couleurs et des senteurs dans les bandes florales qu’il sème stratégiquement dans chaque champ, il choisit un mélange non mellifère car se sont des plantes envahissantes et très souvent des crucifères. Les crucifères attire beaucoup l’altise, cette petite bestiole qui ravage les feuilles des navet bottes et roquette par exemple.

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A la ferme la fertilisation de notre terre est assurée par l’apport du compost préparer avec du fumier bio de vache (provenant d’une ferme locale), les déchets de notre ferme (légumes invendus, déchets verts) et les déchets organiques de la maison.

Il est épandu une fois par an et par parcelle, cet apport est suffisant pour garantir la production de toute la saison.

Voilà de quelle manière, dans les grandes lignes comment nous réussissons à appliquer la biodynamie à la ferme.

N’hésitez pas à nous faire part de vos réactions.

Dans notre prochaine actualité, nous vous parlerons du chantier de construction de serres supplémentaires à la ferme.